Sujets en FRANÇAIS > RÉVOLUTION CITOYENNE ... il est grand temps !

RÉVOLUTION CITOYENNE

(1/1)

PiJo:
           


RÉVOLUTION CITOYENNE
ou MOUVEMENT CITOYEN

Source : https://lareleveetlapeste.fr/il-suffit-que-35-dune-population-soit-mobilisee-pour-quune-lutte-non-violente-renverse-un-gouvernement/
Il suffit que 3,5% d’une population soit mobilisée pour qu’une lutte non violente renverse un gouvernement.
4 septembre 2018
par Laurie Debove


     


" Ne doutez jamais qu'un petit groupe d'individus conscients et engagés puisse changer le monde. C'est d'ailleurs toujours comme cela que ça s'est passé. "
Margaret Mead


   
Par Erica Chenoweth et Maria J. Stephan

Extrait (en anglais) (PDF, 38 pages, 170Kb) :    >> Téléchargez IÇI <<

L’une est chercheuse en violence politique et résistance citoyenne, l’autre est une experte des mouvements de désobéissance civile. Erica Chenoweth et Maria J. Stephan ont étudié les mouvements civils de lutte non-violente et en sont arrivées à cette conclusion surprenante : il suffit de mobiliser 3,5% d’une population pour qu’une résistance non violente ait gain de cause.

« Pourquoi la désobéissance civile fonctionne »

Alors qu’elle se destinait d’abord à une carrière militaire, la chercheuse Erica Chenoweth (Université de Denver et Harvard Kennedy School) n’aurait pas imaginé co-écrire le livre  «Why Civil Resistance Works»  (Pourquoi la désobéissance civile fonctionne) durant son parcours professionnel. Suite au défi lancé par Maria J. Stephan, experte en désobéissance civile et directrice du programme d’action non-violente à l’Institut de Paix des Etats-Unis, les deux femmes ont compilé et étudié les campagnes de résistance civile non violente entre 1900 et 2006.

Résultat : ces mouvements ont été deux fois plus efficaces que les protestations violentes durant la même période. Leur livre, publié en 2011, présente les conclusions de leurs recherches : pourquoi la stratégie de lutte non-violente fonctionne mieux, mais aussi pourquoi elle échoue parfois.


The success of nonviolent civil resistance_ Erica Chenoweth at TEDxBoulder


L’information la plus marquante de leur travail reste la « règle des 3,5% »

    « Les chercheurs avaient l’habitude de dire qu’aucun gouvernement ne pourrait survivre si 5 % de sa population se mobilisait contre elle. Mais nos données révèlent que le seuil est probablement inférieur. En fait, aucune campagne n’a échoué une fois la participation active et soutenue de seulement 3,5 % de la population – et beaucoup d’entre eux ont réussi avec beaucoup moins que cela. Bien sûr, 3,5% de la population demande une mobilisation qui reste importante. Aux États-Unis, cela signifie presque 11 millions de personnes. » Erica Chenoweth

Chaque mouvement citoyen rassemblant plus de 3,5% de la population était construit autour d’une stratégie de lutte non violente. La chercheuse a déterminé que les individus participant à des campagnes non violentes étaient en moyenne quatre fois plus nombreux que ceux participant à une lutte violente. Ces participants étaient souvent beaucoup plus représentatifs en termes de sexe, d’âge, de race, de parti politique, de classe et de distinctions urbain-rural.

Autrement dit, la stratégie de lutte non-violente permet de dépasser les clivages et de rassembler plus de monde grâce à la pluralité de ses actions : manifestations, boycotts, désobéissance civile, etc. Surtout, les luttes non-violentes ouvriraient la voie à des démocraties durables et pacifiques, comprenant moins de risques de sombrer dans une guerre civile que leurs homologues violentes.

Un propos d’actualité

Bien que leur ouvrage ait été publié en 2011, le propos reste d’actualité alors que le débat prend de l’ampleur au sein des militants environnementaux sur la meilleure stratégie (violente ou non-violente) à adopter pour faire comprendre aux gouvernements l’urgence du réchauffement climatique.

« La non-violence est un jeu entre la force de la contrainte et la force de la persuasion. Il faut perturber les choses pour faire passer un message que les gens ne sont pas disposés à écouter. Mais perturber les choses tout en respectant les personnes pour qu’elles puissent quand même rester à l’écoute ou revenir à l’écoute, qu’il y ait des conditions de dialogue qui puissent être établies ou maintenues. » Jon Palais, Cofondateur d’Alternatiba et d’ANV-COP 21, pour Thinkerview

Car non-violence ne veut pas dire inaction : boycotter, faucher les chaises d’une banque, bloquer un sommet pétrolier, actions locales en fonction des besoins d’un territoire, actions décentralisées… c’est bien d’un passage à l’action dont il s’agit. Récemment, en Arménie, un soulèvement citoyen pacifiste contre la corruption a réussi à détrôner un leader politique qui se maintenait au pouvoir depuis 10 ans, là où une manifestation plus violente avait été sévèrement réprimée par la police en 2008, faisant une dizaine de morts. Le journaliste Vincent Cheynet précise :

    « La décroissance commence par le refus de la montée aux extrêmes, elle est une désescalade. Loin d’être un pacifisme angélique, narcissique voire lâche qui refuserait la confrontation, elle commence par le choix courageux de la non-violence. »

En France, suite à la démission de Nicolas Hulot, de nombreux événements s’organisent pour agir en faveur du climat. Serons-nous 3,5% à faire entendre notre voix ?


Aujourd’hui, partout dans le monde, la démocratie n’est exercée que sous sa forme représentative. À l’heure où beaucoup d’élus qui devraient nous représenter ont tant de fois démontré leurs connivences avec les pouvoirs de la finance et des multinationales ainsi que leur potentiel de corruptibilité, il n’est plus de confiance possible. Or la confiance est la condition essentielle du fonctionnement de la version représentative de nos démocraties. Il nous appartient donc d’initier une transition vers la démocratie dans sa version la plus fondamentale et finale: la démocratie directe, qui s’exerce par le peuple et pour le peuple.

Le climat de désunion vers lequel se tourne notre société où règne désormais la compétitivité, l’égoïsme, la confrontation nous souhaitons y mettre un terme et rétablir les valeurs fondamentales que sont la Paix, la Justice, la solidarité, la coopération, la synergie. Nous souhaitons mettre fin aux injustices sociales et aux agressions constantes sur les individus, les salariés, les entreprises exercés par l’impérialisme du commerce international et de la spéculation boursière. Nous aspirons à mettre en place et développer le bon sens humaniste, démocratique, social et écologique, qui ne seront possibles que grâce à la démocratie directe et non celle représentative qui nous a trahi.e.s.


---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------


Source : https://www.les4verites.com/culture-4v/la-guerre-civile-a-commence
La guerre civile a commencé !
par Milliere Guy   
27 septembre 2016




Dans un livre récent (« La guerre civile qui vient »), Ivan Rioufol, pour qui j’ai une vive estime, évoque la possibilité d’une guerre civile en France si rien ne change de façon rapide et drastique.

Je pense que son diagnostic est pertinent : la situation française est dramatique, et je ne peux que le souligner, semaine après semaine.
J’ai pensé longtemps que la guerre civile ne surviendrait pas, car le peuple français était fatigué, démoralisé, largement brisé, vieillissant.

Je pense désormais, non seulement que la guerre civile aura lieu, mais qu’elle est déjà en cours.

Que sont les zones de non-droit, devenues souvent zones de charia, sinon des zones conquises par une puissance étrangère, le dar al-islam, et constituant des enclaves sur le territoire du pays ?

Que sont les classes de tant de lycées, où on ne peut plus enseigner la shoah, où enseigner la guerre d’Algérie sans faire l’éloge du FLN est risquer sa vie, et où parler des crimes anti-juifs commis par les djihadistes palestiniens au Proche-Orient est plus risqué encore, sinon d’autres zones conquises par la même puissance étrangère et d’autres enclaves sur le territoire du pays ?

Que sont les comportements des femmes en burqa ou en voile intégral, sinon des exigences que la conquête se poursuive et que la soumission au dar al-islam gagne du terrain ?

Et que sont les agressions de femmes portant des tenues lé­gères par des hommes considérant que des femmes portant ces tenues sont des prostituées, sinon d’autres façons de poursuivre la conquête et de soumettre les Français au dar al-islam qui gagne du terrain ?
Nous sommes dans le dar al-harb, le territoire de la guerre pour l’islam, et l’objectif est que la France intègre pleinement le dar al-islam.

Nous sommes face à une civilisation conquérante et prédatrice qui considère qu’elle doit soumettre et régner sur la terre entière et que nous sommes des infidèles, des inférieurs, des dhimmi, des mécréants.
Ceux qui veulent nous conquérir ont déjà conquis l’esprit de mil­lions de musulmans qui ont la nationalité française et à qui ils ont fait comprendre, par un travail de propagande insidieuse, qu’ils sont musulmans avant d’être français et que leur devoir est d’imposer aux autres Fran­çais une France musulmane.

Ils ont, ce qui aggrave la guerre civile et la rend plus difficile à gagner, l’appui de compagnons de route et d’idiots utiles par millions : les gauchistes qui, par haine de l’Occident, souhaitent la victoire de l’islam, les journalistes imprégnés de « politiquement correct », les abrutis qui ne comprennent rien à ce qu’est l’islam, et pensent encore que celui-ci est une religion de paix, les agents stipendiés qu’on appelle « spécialistes de l’islam » dans les grands médias, qui répètent que « l’essentiel des musulmans sont non-violents », et font semblant de ne pas voir qu’un mu­sulman non-violent est un mu­sulman à qui on n’a pas encore rappelé les devoirs de tout vrai musulman.

Compagnons de route et idiots utiles sont, pour la plupart, bêtes à manger du foin, et sont conséquents avec leur bêtise puisqu’ils mangent du foin. Ils croient, pour la plupart, connaître le coran parce qu’ils en connaissent des versions expurgées, ou parce qu’ils en ont entendu parler par d’autres compagnons de route et idiots utiles.

Ils croient connaître l’islam parce qu’ils ont reçu, directement, indirectement, ou très indirectement, le discours de propagandistes et le considèrent comme le vrai discours de l’islam.

Bien que bêtes à manger du foin, ils sont très dangereux parce qu’ils égarent et jouent le rôle de forces incapacitantes face à l’ennemi.
Les moins stupides parmi eux sont, eux, des agents de l’ennemi, et peuvent être considérés comme faisant partie intégrante de l’ennemi.
La guerre civile est en cours, oui. Elle est très loin d’être gagnée. Je considère qu’il sera très difficile de la gagner, tant les musulmans sont nombreux, et tant compagnons de route et idiots utiles sont eux-mêmes nombreux et disséminés partout.

Je ne veux pas désespérer. Vivre hors de France ne m’éloigne pas de ce qui doit être fait. Je dispose, au contraire, d’une liberté de parole plus grande. J’en use et continuerai à en user…


__________________________________________________________________________________________________



Source : https://www.contrepoints.org/2019/01/07/16180-198-methodes-dactions-non-violentes
Protester en politique : 198 méthodes d’action non violente

Une liste de méthodes de protestations non violentes contre le pouvoir compilées par Gene Sharp qui pourrait être utile aux Gilets jaunes pacifistes.
Par Alex Korbel.

Chacune des méthodes indiquées ci-dessous a été mise en œuvre au cours de l’Histoire et a fait l’objet d’études publiées dans le tome II de The Politics of Nonviolent Action écrit par Gene Sharp.

Cette liste est disponible en anglais en ligne et en format PDF.

La traduction française de cette liste est disponible en ligne.

Méthodes de protestation et de persuasion non violente

Déclarations formelles

1. Discours publics
2. Lettres d’opposition ou de soutien
3. Déclarations des organisations ou institutions
4. Déclarations publiques signées
5. Déclarations d’intention et réquisitoires
6. Pétitions de groupe ou de masse

Communications à de larges audiences

7. Slogans, caricatures, et symboles
8. Bannières, affiches, et communications visuelles
9. Tracts, pamphlets, et livres
10. Journaux et revues
11. Enregistrements, radio et télévision
12. Publicité aérienne et écriture au sol

Représentations de groupe

13. Délégations
14. Prix satiriques
15. Groupes de pression
16. Piquets de grève
17. Simulacre d’élections

Actes publics symboliques

18. Exhibition de drapeaux et de couleurs symboliques
19. Port de symboles
20. Prières et cultes
21. Livraison d’objets symboliques
22. Protestations dénudées
23. Destruction de ses propres possessions
24. Lumières symboliques
25. Exhibition de portraits
26. Peinture de protestation
27. Nouveaux signes et dénominations
28. Sons symboliques
29. Réclamations symboliques
30. Gestes grossiers

Pressions sur les individus

31. « Visites » récurrentes à des fonctionnaires
32. Provocation de fonctionnaires
33. Fraternisation
34. Veilles

Théâtre et musique

35. Satires et farces humoristiques
36. Exécution de pièces de théâtre et de musique
37. Exécution de chants

Processions

38. Marches
39. Parades
40. Processions religieuses
41. Pèlerinages
42. Défilés de voitures

Commémoration des morts

43. Deuil politique
44. Fausses funérailles
45. Funérailles avec manifestation
46. Hommage sur une tombe

Rassemblements publics

47. Assemblées de protestation ou de soutien
48. Meetings de protestation
49. Réunions secrètes de protestation
50. Séances d’enseignement ou de formation

Retrait et renonciation

51. Départ groupé en signe de réprobation
52. Silence
53. Renoncement aux honneurs
54. « Tourner le dos »

Méthodes de non coopération

Non coopération sociale

Ostracisme de personnes

55. Boycott social
56. Boycott social sélectif
57. Grève du sexe
58. Excommunication
59. Interdiction d’activité religieuse

Noncoopération avec évènements, coutumes et institutions sociales

60. Suspension d’activités sociales et sportives
61. Boycott d’activités sociales
62. Grèves d’étudiants
63. Désobéissance sociale
64. Démission d’institutions sociales

Retrait du système social

65. Opération ville morte (ou rester chez soi)
66. Noncoopération personnelle totale
67. Fuite de travailleurs
68. Refuge dans un sanctuaire
69. Disparition collective
70. Emigration de protestation (hijrat)

Non coopération économique : boycotts économiques

Action par les consommateurs

71. Boycott par les consommateurs
72. Nonutilisation de biens boycottés
73. Régime de restriction
74. Refus de payer les locations
75. Refus de prendre en location
76. Boycott national de consommateurs
77. Boycott international de consommateurs

Action des travailleurs et producteurs

78. Boycott par les travailleurs
79. Boycott par les producteurs (refus de vendre)

Action des intermédiaires

80. Boycott par les fournisseurs et grossistes

Action des propriétaires et dirigeants

81. Boycott par les commerçants
82. Refus de mettre en location ou de vendre les propriétés
83. Renvoi du personnel (lockout)
84. Refus d’assistance industrielle
85. Grève générale des commerçants

Action des possesseurs des ressources financières

86. Retrait des dépôts bancaires
87. Refus de payer des frais, droits et taxes
88. Refus de payer les dettes ou les intérêts
89. Rupture de fonds et de crédit
90. Refus de déclaration de revenus
91. Refus de la monnaie du gouvernement

Action des gouvernements

92. Embargo domestique (intérieur)
93. Liste noire de commerçants
94. Embargo international sur les ventes
95. Embargo international sur les achats
96. Embargo international du commerce

Non coopération économique : la grève

Grèves symboliques

97. Grève d’avertissement
98. Grève éclair

Grèves agricoles

99. Grèves des agriculteurs
100. Grève des ouvriers agricoles

Grèves de groupes particuliers

101. Refus de travail forcé
102. Grève des prisonniers
103. Grève des artisans
104. Grève professionnelle

Grève industrielle ordinaire

105. Grève d’établissement
106. Grève d’un secteur industriel
107. Grève de soutien

Grèves restreintes

108. Grève progressive
109. Grève focalisée
110. Travail au ralenti
111. Grève du zèle
112. Grève par « maladie »
113. Grève par démissions successives
114. Grève limitée
115. Grève sélective

Grèves multi-industrie

116. Grève généralisée (à un secteur de l’économie)
117. Grève générale

Combinaison de grèves et de fermetures économiques

118. Ville morte (hartal)
119. Cessation d’activité économique

Non coopération politique

Rejet de l’autorité

120. Suppression ou rejet d’allégeance
121. Refus du soutien public
122. Littérature et discours en faveur de la résistance

Non coopération des citoyens avec le gouvernement

123. Boycott des corps législatifs
124. Boycott des élections
125. Boycott des emplois et situations au gouvernement
126. Boycott des organismes gouvernementaux
127. Retrait des institutions d’éducation gouvernementales
128. Boycott des organisations soutenues par le gouvernement
129. Refus d’assistance aux agents de la force publique
130. Enlèvement de ses propres signes et repères
131. Refus de recevoir des officiels
132. Refus de dissoudre des institutions existantes

Alternatives citoyennes à l’obéissance

133. Docilité réticente et lente
134. Nonobéissance en absence de contrôle direct
135. Nonobéissance populaire
136. Désobéissance déguisée
137. Refus de dispersion d’un rassemblement ou d’un meeting
138. Protestation assise (sitdown)
139. Noncoopération avec la conscription et la déportation
140. Caches, fuites et fausses identités
141. Désobéissance civile à des lois « illégitimes »

Action du personnel gouvernemental

142. Refus séléctif d’aides gouvernementales
143. Blocage de lignes de commandement ou d’information
144. Retard et obstruction
145. Noncoopération administrative générale
146. Noncoopération judiciaire
147. Inefficacité délibérée et noncoopération sélective des agents de la force publique
148. Mutinerie

Action à l’intérieur du gouvernement

149. Evasions quasi légales et reports de tâches
150. Noncoopération par des unités gouvernementales constituées

Actions gouvernementales internationales

151. Changements dans les représentations, diplomatiques et autres
152. Retard et annulation d’événements diplomatiques
153. Cessation de reconnaissance diplomatique
154. Rupture de relations diplomatiques
155. Retrait d’organisations internationales
156. Refus d’adhésion à des organismes internationaux
157. Expulsion d’organisations internationales

Les méthodes d’intervention non violente

Intervention psychologique

158. Exposition volontaire aux éléments
159. Jeûne
(a) Jeûne de pression morale
(b) Grève de la faim limitée
(c) Grève de la faim illimitée
160. Renversement de procès
161. Harcèlement nonviolent

Intervention physique

162. Sit-in
163. Occupation d’espace debout
164. Occupation à cheval, à vélo, en voiture, etc.
165. Occupation d’un lieu interdit
166. Occupation bourdonnante
167. Occupation avec prières (pour forcer à…)
168. Raids nonviolents
169. Raids aériens nonviolents
170. Invasion nonviolente
171. Interposition nonviolente
172. Obstruction nonviolente
173. Occupation nonviolente

Intervention sociale

174. Etablissement de nouveaux modèles sociaux
175. Surchargement ou engorgement de services
176. Achats au ralenti
177. Interventions orales en public
178. Théâtre de guérilla
179. Institutions sociales alternatives
180. Système alternatif de communication

Intervention économique

181. Grève inversée par excès de travail
182. Grève sur le tas
183. Prise de contrôle nonviolente d’un terrain
184. Défiance d’une restriction ou d’un blocus
185. Contrefaçon politiquement motivée
186. Achat préventif de produits stratégiques
187. Saisie d’actifs
188. Dumping (vente massive à bas prix)
189. Soutien sélectif de produits ou de marques…
190. Marchés alternatifs
191. Systèmes alternatifs de transport
192. Institutions économiques alternatives

Intervention politique

193. Surcharge de systèmes administratifs
194. Révélation d’identité d’agents secrets
195. Recherche d’emprisonnement
196. Désobéissance civile à des lois anodines
197. Participation sans collaboration
198. Double pouvoir et gouvernement parallèle

Évidemment, beaucoup d’autres méthodes ont déjà été utilisées mais n’ont pas été classées. De même, une multitude d’autres méthodes seront encore inventées dans le futur qui auront les caractéristiques des trois classes de méthodes : protestation et persuasion non violente, noncoopération et intervention non violente.

Il faut bien comprendre que la meilleure efficacité sera obtenue si la méthode est choisie en fonction d’une stratégie préalablement adoptée. Il est nécessaire de connaître le genre de pression qu’on veut exercer avant de choisir la forme d’action précise qui exercera cette pression.

Cet article a été publié une première fois en 2011.

Par Alex Korbel




Navigation

[0] Message Index

It appears that you have not registered with NEEEEEXT. To register, please click here...
Go to full version