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Maintenant c'est au tour des poissons et des crevettes d'Asie de nous méfier !!!

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alan bucknet:
Maintenant c'est au tour des poissons et des crevettes d'Asie de nous méfier !!!

En Thailande depuis 19 ans, j'avais déja entendu les Thailandais parler de ce poisson et de ses origines douteuses : le "Pangasius" (ou basa, dori, bocourti, swai, ...), poisson-chat qui devient aujourd'hui (en 2017) le poisson d'eau douce phare des restaurants thailandais avec le Tilapia (une autre espèce nourrie aux excréments qui nous vient de Chine).
Le Pangasius serait importé du Vietnam et de Chine, la production thailandaise n'en étant qu'à ses débuts.

Qu'en est-il vraiment de ce poisson ?






Le poisson Panga




Le bon poisson - pangasius RTBF


En ce qui concerne le contrôle et la réglementation dans le domaine des pêcheries en Asie du Sud-Est, Loïc Tassé, politologue et spécialiste de la Chine et de l’Asie, soutient que «la corruption y est telle que les règles sont souvent contournées», bien qu’il reconnaisse détenir peu d’information à ce sujet.



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Page de l'auteur : http://www.canalvie.com/sante-beaute/nutrition/infos-et-conseils/le-pangasius-un-poisson-dangereux-1.1298812
Le Pangasius, un poisson dangereux ?


En moins de 20 ans, le Pangasius a conquis le marché mondial. On en trouve dans presque toutes les poissonneries et vous en avez probablement déjà mangé. Mais ce poisson est-il au-dessus de tout soupçon?

Une première chaîne télévisée française émettait des doutes dès 2006. En décembre 2008, la télévision suisse sonnait l’alarme. Dans un reportage étoffé, la chaîne RTS diffusait un reportage portant sur l’élevage intensif de ce poisson d’eau douce, membre de la famille des poissons-chat.

Dans les faits, certains méandres du delta du Mékong, au Vietnam et en Thaïlande, abritent des millions de poissons. Nourri d’une pâte humide à base de riz, de son et de poisson, le Pangasius se développe rapidement. Les femelles subissent un traitement hormonal pour favoriser l’ovulation. Les sites d’élevage affichent donc des rendements élevés,  soit près de 200 kilos au mètre carré. Or, une telle quantité de poissons, dans des espaces restreints, créent des problèmes. Les eaux sont contaminées par les déchets de nourriture et les excréments des poissons.

Des poissons suspects

Si certains consommateurs s’inquiètent des impacts de la pollution sur le poisson d’élevage, d’autres critiquent les méthodes de production utilisées par les éleveurs.

Un chimiste suisse a découvert des traces de Ciprofloxacine et d’Enrofloxacine, deux antibiotiques, dans les chairs d’échantillons en provenance du Vietnam. Même si les quantités respectaient les normes européennes, sa consommation n’en demeure pas moins inquiétante pour plusieurs.

S’alarmer?

Il n’en fallait pas plus pour ameuter les téléspectateurs et les internautes. Sporadiquement, des courriels circulent sur les dangers que représente la consommation de ce poisson à chair rosée.

Or, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) se veut rassurante. Le poisson en provenance du Vietnam est inspecté, au même titre que le poisson provenant d’autres pays. Et, s’il ne respecte pas les normes canadiennes, son entrée au pays sera refusée.

Mais les inspecteurs ne peuvent scruter tous les lots. Il est donc normal, pour les consommateurs, de s’interroger sur la provenance de tous les produits qu’ils consomment, incluant les poissons.

Des contrôles plus stricts

Les consommateurs ne doivent pas s’inquiéter outre mesure. Les élevages vietnamiens et thaïlandais se conforment à la réglementation sur l’utilisation des antibiotiques. Toutefois, c’est l’accumulation de ces produits (la viande est également traitée) qui risque de favoriser le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques chez les humains.

L’utilisation d’antibiotiques est très fréquente en aquaculture. De la même façon, la moulée servie aux poissons contient de l’huile de poisson. Après la vache folle, le poisson fou? Certains estiment que leurs craintes sont justifiées. Or, jusqu’ici, rien ne prouve que la consommation de ce poisson puisse être dangereuse pour les humains.

Les autorités se font rassurantes. Le Pangasius compte parmi les espèces qui accumulent peu de toxines, à l’instar du saumon et du tilapia, par exemple. De plus, sa croissance est rapide dans les eaux chaudes. Il ne reste donc pas très longtemps en élevage, ce qui réduit les risques de contamination.

La chair du Pangasius, faible en gras, offre un goût et une odeur très subtils, qui s’apparentent à la sole. Elle est prisée des consommateurs en raison de son prix peu élevé.

Craintes démesurées ou poisson toxique, le Pangasius se retrouve parfois en eaux troubles. Toutefois, des normes d’élevage et d’importation plus strictes ont de quoi rassurer le consommateur. Consommé modérément, il ne semble présenter aucun risque significatif pour la santé. Mais la décision de l’inclure à votre menu vous appartient…




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Page de l'auteur : https://www.facebook.com/metromonepicier/posts/589144487780704
Attention au poisson-pangasius (Filets of Bassa)! Une horreur!

POISSON À NE JAMAIS CONSOMMER

En plus des infos suivantes, l'émission « Une heure sur terre » à la télé avec Jean-François Lépine où il traitait de ce sujet, qui confirme exactement ces données.

Le pangasius est un nouveau poisson asiatique que nous trouvons chez Métro, IGA, Maxi, Costco, etc., surtout sous forme de filets, à un prix relativement bas. Le pangasius est, au Vietnam, un poisson de culture industrielle intensive; plus exactement, il vient du delta du Mekong, et il est en train d'envahir le marché à cause de son prix.

Voici ce qu'il y a à savoir sur le pangasius ou PANGA : le *Mekong* est l'un des fleuves les plus contaminés de la planète.

Les pangas sont infectés, à hauts niveaux, de venins et bactéries (arsenic, résidus industriels toxiques et dangereux, sous-produits du secteur industriel en pleine croissance), métaux contaminés, phénols polychlorés (PCB) ou DDT et leurs (DDTs), chlorate ; des composants relationnés (CHLs), hexachlorociloxane, isomères (HCHs) et hexachlorobenzène (HCB).
Ils sont alimentés avec des poissons morts, des restes d'os et avec une farine d'Amérique du Sud, le manioc et des résidus de soja et graines.
Il est évident que ce type d'alimentation peu salubre n'a rien à voir avec l'alimentation d'un environnement naturel. Cela ressemble beaucoup à l'alimentation des vaches folles (vaches qui furent alimentées avec des vaches). Vous en rappelez-vous?

L'alimentation des pangas est complètement en dehors de toute réglementation judiciaire. Le pangasius grandit 4 fois plus vite que dans la nature, à l'état normal. De plus, les pangasius sont injectés avec (PEE).

Quelques scientifiques ont découvert que si l'on injectait les femelles panga avec des hormones féminines dérivées d'urine déshydratée de femmes enceintes, la femelle panga produirait ses oeufs plus rapidement et en grande quantité, ce qui n'arriverait pas dans un environnement naturel. Une femelle panga arrive ainsi à produire 500,000 oeufs en une fois.

De fait, ce sont des poissons qui ont des hormones injectables produites par une entreprise *pharmaceutique chinoise* pour accélérer le processus de croissance et de reproduction.

En achetant du pangasius, nous collaborons avec des entreprises gigantesques sans aucun scrupule et spéculatrices, qui ne se préoccupent pas de la santé et du bien-être des êtres humains. Ce commerce est accepté par de grandes superficies qui vendent au public en général, tout en sachant qu'ils vendent des produits contaminés.

NOTE: Étant donné la prodigieuse quantité de pangasius disponible, ils termineront également dans d'autres aliments : surimi (ces petits bâtonnets faits avec de la chair de poisson), poisson en boîte et bâtonnets (faits avec de la chair de poisson), et probablement dans quelques aliments pour animaux (chiens et chats).*

*REGARDEZ LA PROVENANCE DU POISSON ET N'ACHETEZ JAMAIS DE POISSON ASIATIQUE AUSSI PEU CHER QU'IL SOIT.

IGA et MÉTRO NE SE PRÉOCCUPERONT JAMAIS DE VOTRE SANTÉ !!!*
FAITES SUIVRE ...*




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Page de l'auteur : http://www.bon-coin-sante.com/blog-sante-sans-prise-de-tete/alimentation-nutrition/scandale-du-panga-poisson-hyper-toxique/
Le scandale du panga (pour Pangasius), ce poisson bon marché hyper toxique


Parmi tous les poissons d’élevage, le panga est certainement le plus toxique.

Petit rappel sur les conditions d’élevage déplorable : le panga est bourrés d’hormones, de pesticides et de métaux lourds…La consommation de ce poisson est un réel danger pour votre santé.

Pangasius hypophthalmus

Deux fois moins cher que le filet de cabillaud, élevé au Vietnam dans des conditions industrielles et intensives, le panga est un poisson omnivore capable de digérer tous les déchets et toutes les pollutions industrielles.

Ces poissons sont vendus en quantité astronomique, on en trouve dans tous les rayons des poissonneries de nos marchés et hypermarchés, une aubaine pour les consommateurs les plus modestes et non avertis.
Alors si vous êtes tenté par la consommation de ce poisson très bon marché, voici quelques informations qui devraient vous faire changer d’avis…
 
Bon à savoir sur le panga

Issu du delta du Mékong qui est l’un des fleuves les plus contaminés de la planète. Les pangas sont infectés, à hauts niveaux, venins et bactéries (arsenic, résidus industriels toxiques et dangereux, sous-produits du secteur industriel en pleine croissance), métaux contaminés, phénols poly chlorés (PCB) ou DDT et leurs (DDTs), chlorate; des composants relationnés (CHLs), hexachlorociloxane, isomères (HCHs) et hexa chlorobenzène (HCB).

Ils sont nourris avec des poissons morts, des restes d’os, des galettes de manioc et de résidus de soja,... une alimentation qui n’a rien à voir avec l’alimentation d’un environnement naturel. Pour mémoire rappelez-vous le scandale de la vache folle où les vaches étaient alimentées avec des sous-produits venant de leurs propres congénères.
Aucune réglementation n’est en vigueur pour l’alimentation des pangas, ce poisson grandit 4 fois plus vite dans ces usines d’élevage que dans son environnement naturel. Quelques scientifiques peu scrupuleux ont découvert qu’en injectant des hormones féminines issues d’urine déshydratée de femmes enceintes, la femelle panga produirait ses œufs plus rapidement et en grande quantité.
Afin d’augmenter les bénéfices, les poissons sont donc bourrés d’hormones injectables pour accélérer le processus de croissance et de reproduction.

Arrêtons de manger de la merde

En achetant et en consommant du panga, nous collaborons avec des entreprises gigantesques sans aucun scrupule et spéculatrices, qui ne se préoccupent pas de la santé et du bien être des êtres humains.
Étant donné la rentabilité d’élevage de ce poisson et la prodigieuse quantité disponible, cette saloperie va également se retrouver dans d’autres aliments préparés et transformés : surimi, plat préparé a base de poissons, poisson en boîte et probablement dans quelques aliments pour animaux domestiques.
Ces aliments bas de gamme remplissent les rayons discount, c’est là toute la perversion du système, une fois de plus ce sont les gens les plus démunis qui deviennent des cibles privilégiées, ils font des économies et ne peuvent acquérir du poisson ou d’autres produits de qualité.
 
Conclusion

L’argent devient le seul moteur de l’humanité et le commerce se rend complice de ces abominations. Inquiétez-vous et refusez de consommer des produits dont l’origine est douteuse, ne consommez plus de panga ni de poissons d’élevage en général. Favorisez les petits poissons encore pêchés de façon traditionnelle, consommez moins, mais consommez mieux !




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Page de l'auteur : http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/11656/des-poissons-importes-de-chine-nourris-aux-excrements
Les tilapias, des poissons importés de Chine et nourris aux excréments



Pêcheur et filet de pêche rempli de poissons dans une eau boueuse


En Chine les tilapias exportés vers l'Europe et les États-Unis sont nourris aux excréments
Par Manon Laplace
Publié le 29/04/2014


Les normes sanitaires de l'aquaculture chinoise (comme le reste d'ailleurs !!) laissent parfois à désirer. C'est le cas des élevages de tilapias, où les poissons sont nourris aux excréments.





Le tilapia.
Ce nom ne vous dit peut-être rien, c’est pourtant le poisson le plus vendu au monde. Derrière ce nom se cachent différentes espèces de poissons blancs appartenant à la famille des cichlidés. Il s’agit de l’espèce la plus vendue au monde. L’an dernier, plus de 21 500 tonnes de tilapia ont été vendues aux États-Unis, soit plus de quatre fois le volume des ventes d’il y a dix ans.

Omnivore et bon reproducteur à la croissance rapide, le tilapia est le poisson d’élevage idéal. Pour Kevin Fitzsimmons, professeur à l’Université d’Arizona et ancien Président de la World Aquaculture Society, le tilapia est à l’aquaculture ce que le poulet est à l’élevage.

Encore peu connu il y a dix ans, le tilapia est aujourd’hui très prisé de certains établissements, surtout des écoles et des hopitaux, confie Orlando Delgado au New York Times. Pour le manager général de la société Aquafinca, cette demande s’explique par la neutralité de la saveur du tilapia, “il n’a pas le goût du poisson” précise-t-il. Comme il s’agit d’un poisson peu coûteux, il entre dans la composition de nombreux plats industriels.

Mieux adapté à un climat tropical, ce poisson originaire d’Afrique est surtout élevé en Amérique Latine et en Asie. La Chine, premier pays exportateur assure la moitié de la production mondiale. Mais l’élevage chinois ne répond pas aux mêmes normes qu’aux États-Unis ou en Europe. En 2012, un article du Bloomberg Businessweek rapportait les méthodes d’élevage de certaines fermes de la Province du Guangdong, en Chine. Là-bas, une part de l’alimentation des  tilapias est constituée d’excréments de porcs et d’oies. Une pratique économique mais dangereuse, puisque les déjections animales sont fréquemment porteuses de bactéries telles que les salmonelles.

Rédaction : Manon Laplace





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CREVETTES


Page de l'auteur : http://www.beurk.com/dossiers/savez-vous-comment-sont-produites-toutes-les-crevettes-que-vous-consommez
Savez-vous comment sont produites toutes les crevettes que vous consommez ?


La consommation mondiale de crevettes explose. Elle connaît une croissance importante, surtout depuis 10 ans. Production artisanale dans les années 70, l’élevage de crevettes appelé aussi pénéiculture est devenu aujourd’hui industriel.  Sur les étals, les prix connaissent des écarts très importants pour des produits apparemment identiques. Pourquoi cette différence ?

L'élevage de crevettes

L’élevage de crevettes se pratique en Asie depuis le 15e siècle sur le littoral et les rives de fleuves. Les mangroves, naturellement riches, ont servi de tout temps de lieux d’élevage, et les crevettes se nourrissent des organismes présents naturellement dans le milieux. Depuis, la production de crevettes a évolué considérablement.

 
Une consommation croissante


Une ferme d'élevage de crevettes en Thaïlande

La consommation de crevettes connait un boom dans les années 1980, au moment même où les stocks de crevettes sauvages diminuent d’une façon alarmante. Pour répondre à cette demande croissante, les pays asiatiques comme la Thaïlande, Taiwan, le Vietnam, l’Indonésie, l’Inde se tournent vers l’élevage intensif à grande échelle et exporte en masse leurs productions de crevettes. D’autres pays leur emboitent le pas : le Brésil, le Mexique et surtout l’Equateur.

Des élevages industriels intensifs

La taille des exploitations est passée de quelques hectares à plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’hectares. La densité des crevettes a été multipliée d’une façon importante pouvant aller jusqu’à 200 individus au mètre carré. L’alimentation des crevettes est elle aussi devenue industrielle, à base de farines animales d’origine terrestre et de farines de poissons. La fertilisation intensive des zones de production augmente artificiellement la production de phytoplancton, autre source de nourriture des crevettes.

L’augmentation de la densité des crevettes a provoqué de nombreuses maladies et épidémies mortelles pour les crevettes. Des traitements antibiotiques en grande quantité sont mis en place par les producteurs car ils ne peuvent se permettre de perdre la totalité de leurs élevages si les bassins de production sont infectés. Ces traitements se retrouvent dans les crevettes que nous mangeons.

L’augmentation de la taille des élevages industriels a un impact important sur l’environnement et l’écosystème des pays producteurs. D’énormes surfaces de mangroves ont ainsi disparues. Le rejet massif des effluents et des boues polluées contenant antibiotiques, engrais chimiques, pesticides…, induits par la production de crevettes lors des vidanges des étangs de production provoquent également de graves pollutions.
 
Une évolution (très) lente vers des pratiques de production plus respectueuses

Depuis quelques années, le système de production est remis en question par certains états, par des ONG, et par les consommateurs… pour que les pratiques de production de crevettes soient plus respectueuses de l’environnement, du consommateur et des crevettes elles-mêmes.

Des entreprises d’élevage de crevettes se tournent depuis quelques années vers des systèmes de production semi-intensifs et extensifs, avec moins de traitements, une densité de crevettes plus faible, une meilleure qualité de l’eau, des fermes aquacoles installées en dehors des mangroves et des zones humides…




Madagascar, le miracle de la crevette



 
Et pour le consommateur ?

Les modes de production labellisées – labels rouges, labels bio… – sont pour le consommateur l’assurance d’une meilleure qualité des crevettes produites. Ces labels permettent de garantir l’origine des crevettes et leur mode de production. Modèle d’élevage extensif avec 5 à 10 crevettes au mètre carré au lieu de 100 à 200 pour l’élevage intensif. Alimentation de qualité garantie sans OGM ni farine animale terrestre, pas d’antibiotique, pas de colorant ajouté à la cuisson… La traçabilité est essentielle pour garantir la qualité des crustacés.

Label Rouge 


Le Label Rouge est décerné par le Ministère français de l’Agriculture et de la Pêche. Il est attribué aux crevettes dont les qualités gustatives sont validées par des panels d’experts et de consommateurs. Les crevettes produites selon des méthodes de production et de conservation décrites dans un cahier des charges exigeant, sont certifiées.

Label AB


Le Label AB certifie que les produits ne contiennent pas d’OGM, Organismes Génétiquement Modifiés. Ce label garanti aux consommateurs 95% d’ingrédients naturels d’origine agricole et dans le respect des cycles biologiques.

Certains labels sont remis en question. Le dénommé WWF-ShAD (Dialogue sur l’aquaculture de la crevette) ne fait pas l’unanimité. Les critères et le processus de production seraient remplis de défauts. Et certaines grandes entreprises l’utiliseraient comme « alibi » pour imposer leurs méthodes de production.
 
Avant d’acheter des crevettes…


Etal de crevettes à la poissonnerie

Les crevettes vendues dans les supermarchés et dans certaines poissonneries sont principalement des crevettes d’élevages produites dans des fermes aquacoles intensives. En provenance principalement de Thaïlande et de l’Equateur, ces crevettes sont de piètre qualité, produites avec de l’alimentation à base de farines animales, d’OGM. Les traitements antibiotiques, les pesticides, les engrais chimiques sont présents en grande quantité dans la chaîne de production. La densité des crevettes dans les bassins d’élevage est énorme. L’environnement et l’écosystème ne sont pas suffisamment pris en compte dans les critères de production.

Crevettes de Madagascar réputées pour leur qualité, crevettes de Thaïlande ou de l’Equateur considérées comme de qualité médiocre, c’est le raccourci que l’on pourrait être tenté de faire. Tous les pays producteurs de crevettes font actuellement des efforts. Des crevettes certifiées bio ou labellisées sont produites en Indonésie, Équateur, Vietnam, Inde, Bangladesh, Thaïlande, Brésil … mais si peu !!!!!!

Manger des crevettes de qualité, nécessite d’être vigilant lors de l’acte d’achat. Seuls les labels permettent d’en garantir la qualité. Et si certains prix sont très bas, c’est certainement que la qualité n’est pas au rendez-vous.

Sources :
> fr.wikipedia.org
> www.m6bonus.fr
> oceans.greenpeace.org











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